Edited by Mathias Segura, Friday, 12 June 2020, 5:59 PM
Quel environnement numérique pour les établissements d'enseignement artistiques spécialisé initial ou supérieur publics, ou associatifs ?
La période de confinement que nous traversons tous a montré à quel point les conservatoires, et les établissements d’enseignement supérieur du spectacle vivant n’étaient pas tous très équipés pour la mise à distance des enseignements, du moins au niveau des institutions. Cette situation s’explique aisément par la nature même de leurs missions, requérant une présence à soi et aux autres pour l’acte artistique qu’ils développent et pour la pédagogie à mettre en œuvre pour l’aborder. Cet état de fait a cependant donné à maintes entreprises privées, appartenant souvent aux GAFAM, fréquemment véritables Molochs des données personnelles, des gages importants pour continuer à… ne pouvoir se passer d’eux !
La soudaineté de la crise et l’urgence à trouver, vaille que vaille, des solutions de continuité pédagogique et administrative ont souvent conduit à repousser à plus tard toute interrogation de nature réglementaire (la RGPD, par exemple), éthique ou pratique. On comprend facilement pourquoi.Les enseignant·es se sont “débrouillé·es”. Elle et ils ont d’ailleurs fait preuve d’une imagination à la hauteur de la contrainte gigantesque qui pèse sur l’ensemble des pratiques artistiques et pédagogiques que nous faisons vivre habituellement. De son côté, l’administration a fait ce qu’elle a pu, gérant avec les outils dont elle disposait, une situation échappant au fond à tout le monde.
Voici le lien vers le dossier ressources d’un webinaire proposé par le Cefedem de Normandie et Conservatoires de France, partage d'expérience : https://nuage.cefedem-normandie.fr/s/zFeEFrieDMnm6aK Vous pourrez y trouver :
ZOOM SUR... #15
Quel environnement numérique pour les établissements d'enseignement artistiques spécialisé initial ou supérieur publics, ou associatifs ?
La période de confinement que nous traversons tous a montré à quel point les conservatoires, et les établissements d’enseignement supérieur du spectacle vivant n’étaient pas tous très équipés pour la mise à distance des enseignements, du moins au niveau des institutions. Cette situation s’explique aisément par la nature même de leurs missions, requérant une présence à soi et aux autres pour l’acte artistique qu’ils développent et pour la pédagogie à mettre en œuvre pour l’aborder. Cet état de fait a cependant donné à maintes entreprises privées, appartenant souvent aux GAFAM, fréquemment véritables Molochs des données personnelles, des gages importants pour continuer à… ne pouvoir se passer d’eux !
La soudaineté de la crise et l’urgence à trouver, vaille que vaille, des solutions de continuité pédagogique et administrative ont souvent conduit à repousser à plus tard toute interrogation de nature réglementaire (la RGPD, par exemple), éthique ou pratique. On comprend facilement pourquoi. Les enseignant·es se sont “débrouillé·es”. Elle et ils ont d’ailleurs fait preuve d’une imagination à la hauteur de la contrainte gigantesque qui pèse sur l’ensemble des pratiques artistiques et pédagogiques que nous faisons vivre habituellement. De son côté, l’administration a fait ce qu’elle a pu, gérant avec les outils dont elle disposait, une situation échappant au fond à tout le monde.
Voici le lien vers le dossier ressources d’un webinaire proposé par le Cefedem de Normandie et Conservatoires de France, partage d'expérience : https://nuage.cefedem-normandie.fr/s/zFeEFrieDMnm6aK
Vous pourrez y trouver :